Facteurs de radicalisation dans le sud du Sénégal et en Haute-Guinée : les causes socio-économiques en exergue.
Dans un contexte marqué par une porosité généralisée des frontières et une intense circulation des hommes et des biens, travailler sur la question si sensible et actuelle de la radicalisation en zones frontalières relève d’une utilité hautement scientifique, mais aussi politique. C’est ainsi que, en partenariat avec le bureau dakarois de la Fondation Konrad Adenauer, Timbuktu Institute a réalisé une étude, qui sera bientôt rendue publique, sur les facteurs de radicalisation et perception du terrorisme chez les jeunes des zones frontalières du Sénégal et de la Guinée.