Dans Studies in Conflict Terrorism, Novembre 2019 Par Ryan Scrivens, Vivek Venkatesh, Maxime Bérubé et Tiana Gaudette
Bien qu’il soit devenu de plus en plus courant pour les chercheurs, les praticiens et les décideurs de s’inspirer des idées d’anciens extrémistes pour lutter contre l’extrémisme violent, ce qui manque dans cet espace en évolution est un regard approfondi sur la manière dont ces derniers perçoivent de tels efforts. Pour combler cette lacune, des entretiens ont été menés avec 10 anciens extrémistes de droite canadiens, sur la base d’une série de questions fournies par 30 responsables de l’application de la loi au Canada et 10 activistes communautaires. Dans l’ensemble, les anciens extrémistes suggèrent que la lutte contre l’extrémisme violent nécessite d’une réponse multidimensionnelle qui consiste principalement d’un soutien parental et familial, d’enseignants et d’éducateurs, de responsables de l’application de la loi et d’autres anciens extrémistes crédibles.
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/1057610X.2019.1686856
