Confrontational but Not Violent

Confrontational but Not Violent: An Assessment of the Potential for Violence by the Anti-Authority Community in Canada.

Terrorism and Political Violence, pp.1-21. 2018

Par Barbara Perry, David C. Hofmann et Ryan Scrivens

Malgré une préoccupation omniprésente parmi les organismes chargés de l’application de la loi et de la sécurité, il existe relativement peu d’explorations théoriques de la probabilité de violence associée aux activistes anti-autorités de groupes tels que Les « Freemen-on-the-Land », les « Sovereign Citizens » et d’autres mouvements similaires au Canada. Cet article utilise une approche multi-méthodes pour explorer et évaluer le potentiel de violence de la communauté anti-autorité canadienne contre l’État en particulier. Les données recueillis proviennent d’entretiens avec des représentants de la loi, des avocats, des juges, des notaires et des adhérents du mouvement (n = 32), ainsi que l’analyse de données open source comprenant des reportages dans les médias, des documents judiciaires et des mouvements de sites Web. Les résultats suggèrent qu’il existe trois classes distinctes d’activités violentes répandues parmi les mouvements anti-autorités canadiens: a) la violence offensante / extrémiste; b) la violence défensive / réactionnaire; et c) le harcèlement et l’intimidation. L’article termine par une discussion sur deux domaines émergents de la violence anti-autorité au Canada et les réactions à celle-ci au Canada.

https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/09546553.2018.1516210