Le consortium RPC-PREV & RAPS offre des programmes de formation

Le Réseau des praticiens canadiens pour la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent (RPC-PREV) et l’équipe «Recherche et action sur les polarisations sociales» de l’Institut universitaire SHERPA (SHERPA-RAPS), qui forment ensemble le consortium RPC-PREV et RAPS, offrent des formations variées en matière de renforcement des capacités.

Le professeur Séraphin Alava reçoit le prestigieux Prix APM 2019

Le 21 février 2020, M. Séraphin Alava, membre associé de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents, s’est vu décerner le prestigieux Prix APM 2019. La cérémonie de présentation du prix avait lieu à Athènes dans le cadre de la 14e session plénière de l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée au Parlement hellénique.

Le nombre de Canadiens qui rejoignent des groupes haineux est en croissance. Pourquoi?

Alors que la montée de l’extrémisme inquiète de plus en plus les autorités canadiennes, des chercheurs de l’Université Concordia se sont attardés aux façons de prévenir ou d’enrayer le recrutement au sein de «groupes sectaires», ainsi que les façons d’en sortir. Leur conclusion: le respect et l’empathie sont essentiels pour y arriver, même face à des propos haineux.

L’empathie est «la clé» pour éradiquer l’extrémisme, plaident des chercheurs

Alors que la montée de l’extrémisme inquiète de plus en plus les autorités canadiennes, des chercheurs de l’Université Concordia se sont attardés aux façons de prévenir ou d’enrayer le recrutement au sein de «groupes sectaires», ainsi que les façons d’en sortir. Leur conclusion: le respect et l’empathie sont essentiels pour y arriver, même face à des propos haineux.

D’anciens «skinheads» racontent pourquoi ils ont rejoint et quitté des groupes haineux

Une nouvelle recherche tire profit de l’expérience d’anciens extrémistes afin de mieux comprendre les processus de radicalisation. Pendant des années, les autorités canadiennes ont sous-estimé le danger que représente l’extrémisme d’extrême droite. Cependant, de plus en plus, elles prennent l’enjeu au sérieux.

D’anciens extrémistes de droite parlent de prévention et de lutte contre la radicalisation violente avec des chercheurs de l’Université Concordia

Selon une étude, l’empathie, le respect et le soutien sont essentiels pour aider ceux et celles qui songent à se joindre à des groupes sectaires ou à se libérer de leur emprise. Alors que les groupes haineux, comme The Base, appellent à commettre des actes toujours plus violents, les autorités policières canadiennes considèrent l’extrémisme de droite comme une menace de plus en plus importante à la sécurité du pays.

Peur de quoi? L’extrémisme violent au Québec et le paysage médiatique

La radicalisation ne mène pas nécessairement à l’extrémisme violent. Les extrémistes commettant des gestes violents se caractérisent généralement par une histoire personnelle difficile, voire de discrimination réelle ou perçue, les concernant eux-mêmes ou le groupe auquel ils s’identifient.

La Chaire UNESCO-PREV accueille Méi-Ra St-Laurent, Ph. D.

Méi-Ra St-Laurent (Ph.D.) se joint à l’équipe Projet Someone à l’Université Concordia dans le cadre de son post-doctorat financé par le CRSH, où elle travaillera avec Vivek Venkatesh. Son projet de post-doctorat porte sur l’accroissement de la préoccupation quant à l’utilisation d’un discours inclusif (dits « politiquement correct ») dans le contexte nord-américain de la musique populaire et de ses liens avec la circulation de discours haineux dans les espaces publics.