D’anciens extrémistes de droite parlent de prévention et de lutte contre la radicalisation violente avec des chercheurs de l’Université Concordia

Selon une étude, l’empathie, le respect et le soutien sont essentiels pour aider ceux et celles qui songent à se joindre à des groupes sectaires ou à se libérer de leur emprise.

Alors que les groupes haineux, comme The Base, appellent à commettre des actes toujours plus violents, les autorités policières canadiennes considèrent l’extrémisme de droite comme une menace de plus en plus importante à la sécurité du pays.

Dans deux articles parus tout récemment dans les revues Studies in Conflict & Terrorism et Perspectives on Terrorism, des chercheurs de Concordia présentent les résultats d’analyses approfondies, menées à la suite d’entrevues sur le parcours de vie d’anciens membres de groupes d’extrême droite. Ces anciens extrémistes s’expriment de façon sincère sur les façons de prévenir et d’enrayer le recrutement au sein des groupes sectaires, de même que sur les options qui s’offrent à ceux et celles qui souhaitent les quitter.

Crédit photo: Concordia University