Équipe

Dalia Elsayed est étudiante au doctorat de troisième année dans le département d’Éducation à l’université Concordia. Sa recherche se concentre sur la race, l’identité, l’intersectionnalité et l’épistémologie féministe. Dalia explore l’identité noire dans une perspective globale, en ce concentrant sur les expériences d’étudiant-e-s noir-e-s dans des institutions canadiennes. Elle s’intéresse à la compréhension des différents récits et cadres qui contribuent à la construction et à l’articulation de l’identité/des identités noires à travers le monde.

Paul L. Gareau est Métis et est professeur adjoint à la Faculté des études autochtones de l’Université de l’Alberta. Ancré dans les études métisses et autochtones, ainsi que dans les études religieuses, le travail de Gareau se concentre sur la théorie et la méthodologie en lien avec la relationnalité, le genre, les épistémologies autochtones, la terre et le lieu, et la souveraineté/le peuple.

Guillaume Gendreau est actuellement étudiant à la maîtrise à l’Université de Sherbrooke, spécialisée en communication politique internationale et risques démocratiques, en collaboration avec Sciences Po Aix et l’Université Catholique de Louvain. Avant d’entamer son cycle supérieur, il a complété un baccalauréat en politique appliquée avec un cheminement en communication à l’Université de Sherbrooke. Dans le cadre de ses fonctions à la Chaire, Guillaume occupe un poste d’auxiliaire de recherche et contribue activement à l’équipe de veille des réseaux sociaux. Ses domaines d’expertise englobent la communication politique et la politique canadienne.

Pier-Luc Genesse est un étudiant de 3e année au baccalauréat à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke. Il a cependant terminé sa dernière année de baccalauréat à l’Université de Montréal et il compte poursuivre son cheminement jusqu’à la maîtrise. Il s’intéresse particulièrement aux questions de relations internationales.

Charlotte Gilson est étudiante en communication à l’Université de Sherbrooke. Avant de commencer la maitrise, elle réalisé un baccalauréat en Sciences politiques à l’Université de Namur. Elle réalise un mémoire sur le traitement journalistique de la droite radicale en période électorale dans les entretiens télévisuels en France et au Canada, sous la direction de Marie-Eve Carignan.

Étudiant à la maîtrise à l’Université du Québec à Montréal, Isaac Gnocchini détient un diplôme en sciences politiques avec une concentration en relations internationales. Il se découvre un intérêt pour la radicalisation et la cohésion sociale, notamment durant la période de la COVID-19, lors d’un cours sur la sécurité paneuropéenne. Laissant les relations internationales de côté, il se penche sur la sociologie politique et la sécuritisation des mouvements d’extrême droite au Canada dans le cadre de son mémoire portant sur la polarisation et la radicalisation du discours social en sol canadien.

Cumulant plus de vingt (20) ans d’expérience dans le domaine du cinéma, David Hall est un producteur et un cinéaste accompli dont le documentaire Blekkmetal, portant sur l’unique édition du festival de ce nom qui a eu lieu en Norvège en 2015. Chaleureusement accueilli par la critique, le film explore les origines du black metal norvégien. M. Hall est chercheur dans le cadre de l’initiative Landscape of Hope de Projet SOMEONE.

Alexandra Joseph est étudiante au doctorat en droit, avocate et chargée de cours à l’Université de Sherbrooke. Dans ses recherches, elle s’intéresse à la régulation des contenus sur les réseaux socionumériques et aux approches communicationnelles du droit.

Élisabeth Kaine est professeure associée en art à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle est impliquée dans plusieurs champs d’intervention dans la pratique du design. Elle a été boursière du CALQ et du Conseil des arts du Canada et dirige de nombreuses équipes de recherche pour divers projets. Élisabeth a co-fondé et dirigée La Boîte Rouge vif de 1999 à 2017, un OBNL dédié à la valorisation et à la transmission des cultures autochtones. Depuis 2018, elle est co-titulaire de la chaire UNESCO La transmission culturelle chez les Premiers peuples comme dynamique de Mieux-être et d’empowerment.

Martin Lalonde est professeur régulier à l’unité d’éducation de l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM). Dans le cadre de ses recherches, il s’intéresse à l’impact des technologies numériques mobiles sur l’enseignement et l’apprentissage, aux croisements des disciplines de l’éducation artistique et du travail social en contexte d’intervention auprès des populations à risque ainsi qu’aux pratiques amateurs en création visuelle et médiatique chez les jeunes. M. Lalonde est chercheur dans le cadre de l’initiative Landscape of Hope de Projet SOMEONE.